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Un pompier agressé en intervention
Publié le 10/09/13 à 08h42
Que s’est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche vers 0 h 30, route de Bonissard à Decazeville ?
Les sapeurs-pompiers du Bassin et la police ont été alertés pour le feu d’un véhicule appartenant à un commerçant de la rue Gambetta. Un feu dont l’origine est indéterminée et pour lequel une enquête est ouverte par la police decazevilloise.
C’est au cours de cette intervention que les secours ont été verbalement pris à partie par plusieurs personnes, puis des coups auraient été portés sur un sapeur-pompier volontaire de 23 ans, car la route était fermée à la circulation durant l’intervention. Lèvre ouverte, le jeune homme a fait l’objet d’examens de contrôle à l’hôpital de Decazeville qu’il a pu quitter à leur issue.
Le chef du centre de secours du Bassin s’est immédiatement rendu auprès de ses hommes pour les soutenir. Démarche également effectuée par le directeur adjoint départemental du SDIS dimanche matin, puis par le directeur départemental du SDIS hier matin.
Les faits, qui interviennent seulement quelques semaines après les deux balles de 22LR tirées sur la caserne à Viviez (l’enquête se poursuit), ont été signalés à la direction nationale de la sécurité civile et «des plaintes seront déposées», indique-t-on au centre de secours où l’on souligne «le sang-froid des sapeurs-pompiers qui n’ont pas répondu aux agressions verbales et physiques» et que le pompier agressé ne connaissait pas ses agresseurs.
Que s’est-il passé dans la nuit de samedi à dimanche vers 0 h 30, route de Bonissard à Decazeville ?
Les sapeurs-pompiers du Bassin et la police ont été alertés pour le feu d’un véhicule appartenant à un commerçant de la rue Gambetta. Un feu dont l’origine est indéterminée et pour lequel une enquête est ouverte par la police decazevilloise.
C’est au cours de cette intervention que les secours ont été verbalement pris à partie par plusieurs personnes, puis des coups auraient été portés sur un sapeur-pompier volontaire de 23 ans, car la route était fermée à la circulation durant l’intervention. Lèvre ouverte, le jeune homme a fait l’objet d’examens de contrôle à l’hôpital de Decazeville qu’il a pu quitter à leur issue.
Le chef du centre de secours du Bassin s’est immédiatement rendu auprès de ses hommes pour les soutenir. Démarche également effectuée par le directeur adjoint départemental du SDIS dimanche matin, puis par le directeur départemental du SDIS hier matin.
Les faits, qui interviennent seulement quelques semaines après les deux balles de 22LR tirées sur la caserne à Viviez (l’enquête se poursuit), ont été signalés à la direction nationale de la sécurité civile et «des plaintes seront déposées», indique-t-on au centre de secours où l’on souligne «le sang-froid des sapeurs-pompiers qui n’ont pas répondu aux agressions verbales et physiques» et que le pompier agressé ne connaissait pas ses agresseurs.
Les sapeurs-pompiers du Bassin et la police ont été alertés pour le feu d’un véhicule appartenant à un commerçant de la rue Gambetta. Un feu dont l’origine est indéterminée et pour lequel une enquête est ouverte par la police decazevilloise.
C’est au cours de cette intervention que les secours ont été verbalement pris à partie par plusieurs personnes, puis des coups auraient été portés sur un sapeur-pompier volontaire de 23 ans, car la route était fermée à la circulation durant l’intervention. Lèvre ouverte, le jeune homme a fait l’objet d’examens de contrôle à l’hôpital de Decazeville qu’il a pu quitter à leur issue.
Le chef du centre de secours du Bassin s’est immédiatement rendu auprès de ses hommes pour les soutenir. Démarche également effectuée par le directeur adjoint départemental du SDIS dimanche matin, puis par le directeur départemental du SDIS hier matin.
Les faits, qui interviennent seulement quelques semaines après les deux balles de 22LR tirées sur la caserne à Viviez (l’enquête se poursuit), ont été signalés à la direction nationale de la sécurité civile et «des plaintes seront déposées», indique-t-on au centre de secours où l’on souligne «le sang-froid des sapeurs-pompiers qui n’ont pas répondu aux agressions verbales et physiques» et que le pompier agressé ne connaissait pas ses agresseurs.